lundi 13 septembre 2010

Bouledogues


De toutes, façons, je n'aime pas particulièrement les chiens - mais enfin, c'est vrai que quand on en croise un dans les bonnes conditions, par exemple lors d'une promenade en forêt, courant la langue pendante, le regard fou, la queue frétillante, quand on croise donc un chien dans le même état, on ne peut s'empêcher de ressentir une certaine sympathie pour ces créatures, certes pas très futes-futes, mais qui ont un certain charme simple et honnête.
Mais franchement les bouledogues ! Ils sont moches et ils bavent. Et Churchill était toujours comparé à un bouledogue. En fait, voilà qui est tout à fait adéquat.

4 commentaires:

  1. euh... elle n'est pas rentrée de vacances Marie-Georges ? (n'y voir aucun lien avec le thème du billet...)

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  2. Justement, si. Ca me fait penser qu'il faudrait écrire un billet contre le travail, tiens....

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  3. Même dans la forêt, les chiens ne sont pas futés !

    [Tiens, je fais une série de jeux de mots de comptoir.… :-)) ].

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  4. Personnellement, les chiens me mettent en boule.

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